La lettre d’intention : un atout pour votre manuscrit
Vous avez enfin terminé votre roman.
Vous avez soigné chaque phrase, construit des personnages attachants, peaufiné l’intrigue, fait corriger votre manuscrit par une correctrice professionnelle… Bref, vous êtes prêt·e à le partager avec le monde.
Mais voilà… Votre manuscrit n’est pas lu ! Ou s’il l’est, vous n’obtenez jamais de réponse.
En France, seuls 1 à 2 % des manuscrits envoyés aux maisons d’édition sont acceptés.
Pourquoi ? Non pas à cause de la qualité de votre histoire… mais parce que vous avez perdu la toute première bataille.
Connaissez-vous la lettre d’intention ?
La lettre d’intention est celle qui accompagne votre manuscrit. Celle qui, en quelques paragraphes, doit convaincre un éditeur que votre projet mérite son attention. Avant même que votre texte soit ouvert, c’est cette lettre d’intention qui parle pour vous.
À quoi sert vraiment une lettre d’intention ?
La lettre d’intention ne remplace pas votre manuscrit, mais elle le précède et le défend.
C’est une porte d’entrée dans l’univers de votre livre. Une première impression. Et on le sait, en édition comme ailleurs, on n’a pas deux fois l’occasion de faire bonne impression.
Une bonne lettre d’intention montre à l’éditeur que :
- Vous savez à qui vous vous adressez,
- Vous avez réfléchi à la place de votre ouvrage sur le marché,
- Vous êtes capable de parler de votre livre de manière concise et pertinente,
- Vous êtes un auteur ou une autrice professionnel·le dans votre démarche.
Que doit contenir une lettre d’intention ?
Pas de panique : la lettre d’intention ne doit pas faire trois pages. Mais elle doit être structurée. Voici les grandes lignes à respecter :
Une accroche personnalisée
Montrez que vous ne vous adressez pas à n’importe qui.
Citez une publication de la maison d’édition, un point commun entre votre manuscrit et leur ligne éditoriale.
Une présentation synthétique du manuscrit
Genre, thème, nombre de signes, lectorat cible… Donnez un cadre clair. L’éditeur doit comprendre ce qu’il s’apprête à lire.
Quelques mots sur vous
Votre parcours, votre lien avec l’écriture ou le sujet abordé. Sans vous étaler, montrez qu’il y a une personne derrière les mots.
Une phrase de clôture polie et dynamique
Exprimez votre envie de rejoindre cette maison, d’être lu·e, sans en faire trop.
Les erreurs à éviter
- Une lettre d’intention impersonnelle, copié-collé à toutes les maisons d’édition.
- Un ton trop scolaire ou, à l’inverse, trop familier.
- Un résumé détaillé du roman (ce n’est pas son rôle).
- Des fautes d’orthographe : elles donnent une image négligée et peu professionnelle.
- Un contenu généré par IA sans relecture humaine : l’éditeur le repère… et passe son chemin.
Et c’est là que mon expertise entre en jeu
Pourquoi ?
Parce qu’une lettre d’intention bien construite, claire et personnalisée peut faire toute la différence.
Parce que vous pouvez, certes, vous appuyer sur une IA pour la rédiger. Mais…
- Votre style sera-t-il respecté ?
- Votre voix sera-t-elle reconnaissable ?
- Avez-vous vraiment envie de ressembler à tous les autres ?
Je vous accompagne dans la rédaction ou la révision de votre lettre d’intention pour :
- Qu’elle mette en valeur votre roman sans en dire trop,
- Qu’elle respecte votre style et votre voix, adaptée à votre parcours d’écrivain,
- Qu’elle donne envie à l’éditeur de vous lire… et de vous répondre,
- Qu’elle soit claire, personnalisée et engageante,
- Qu’elle soit exempte de fautes (ce que repèrera immédiatement un lecteur).
Car oui, une lettre d’intention bien écrite, sans maladresse ni coquille, est déjà une preuve de votre sérieux. Et c’est justement ce que les éditeurs attendent d’un auteur en devenir.
🔗 Découvrez d’autres conseils pour vous aider à vous faire publier
📩 Envie de mettre toutes les chances de votre côté pour être lu·e ? Contactez-moi : ensemble, nous ferons de votre lettre un atout, pas un obstacle.